Un procès contre Pôle Emploi, des courriers froids et violents, 30 000 euros d’amende. Une histoire vraie.
« Les jours qui brûlent » aborde le thème des violences institutionnelles et des souffrances intimes qu’elles engendrent par le prisme de courriers de Pôle Emploi et de poèmes contemporains (Christophe Tarkos, Charles Pennequin) qui reviennent à l’essentiel.
Avec humour et dissonance, ces textes sont accompagnés par une musique volontairement décloisonnée qui exprime de façon charnelle les fondamentaux de la vie : le déchirement intérieur, le besoin de crier, la nature, la monstruosité, la paix intérieure…
avec Louis Freres (basse, composition), Guylaine Cosseron (voix), Xavière Fertin (clarinettes), Tom Malmendier (batterie), Thomas Zielinski (guitare), Ruben Tenenbaum (violon)
18h
Discussion avec Louis Freres, Eve Meuret-Campfort (sociologue du travail) et Valérie Rolle (sociologue de la culture)
21h
Concert
Bar et petite restauration sur place – pas de CB
